de http://www.religionfacts.com/homosexuality/buddhism.htm
Le bouddhisme Theravada est présent en Asie du sud-est et se concentre sur les enseignements originaux du Bouddha. Dans le bouddhisme Theravada, il y a deux façons principales de la vie : la vie du moine et de la vie du profane (c.-à-d. la personne ordinaire avec un travail, une famille, une maison, etc..)
Moines bouddhistes devraient vivre une vie de célibat, ce qui signifie l'abstinence de n'importe quel type de sexe. Il n'y a aucune règle explicite interdisant à ceux qui ont une orientation homosexuelle de la vie monastique. [1] Cependant, dans le Vinaya, le Bouddha est enregistré comme s'opposant à l'ordination de ceux qui ont ouvertement exprimé mixte caractéristiques [2] ou forts désirs homosexuels et actions [7]. Les textes sacrés bouddhistes contiennent beaucoup d'instances d'aimer les relations entre les hommes célibataires, que certains croient avoir des sous-entendus homoérotiques. Aucun contact sexuel n'est mentionné dans ces cas, cependant. [1]
Des bouddhistes laïcs (ceux qui vivent à l'extérieur du monastère) sont tenues de se conformer aux cinq préceptes, dont le tiers est un voeu « de ne pas se livrer à l'inconduite sexuelle. » Mais ce qui est de l'inconduite sexuelle ? Comportement bien et du mal dans le bouddhisme est généralement déterminé par des considérations telles que les suivantes :
•Universalibility principe-« comment je tiens il si quelqu'un fait cela pour moi? »
•Consequences - la loi cause préjudice et regret (chez soi ou d'autres) ou prestations et joie ?
•Utilitarian principe - Will la loi aider ou nuire à la réalisation des objectifs (libération spirituelle en fin de compte) ?
•Intention - est l'acte motivé par l'amour, de générosité et de compréhension ?
Ainsi, « Inconduite sexuelle » a traditionnellement été interprétée afin d'inclure des actions comme la coercition sexuelle, harcèlement sexuel, pédophilie et adultère. Que l'homosexualité n'est pas explicitement mentionnée dans aucune des paroles du Bouddha, enregistrés dans le Canon Pali (Tripitaka), la plupart des interprètes ont pris cela signifie que l'homosexualité devrait être évaluée de la même manière que l'hétérosexualité, conformément aux principes ci-dessus.
Un auteur bouddhiste d'un article sur l'homosexualité se termine :
Dans le cas du laïc et femme où il y a consentement mutuel, où l'adultère n'est pas impliqué et où l'acte sexuel est une expression d'amour, de respect, de loyauté et de chaleur, elle n'enfreindrait pas le troisième précepte. Et c'est la même chose lorsque les deux personnes sont du même sexe. De même la promiscuité, la licence et le mépris pour les sentiments des autres ferait un acte sexuel maladroits qu'il soit hétérosexuel ou homosexuel. Tous les principes que nous utiliserions pour évaluer une relation hétérosexuelle nous utiliserions également d'évaluer un homosexuel. Dans le bouddhisme, nous pourrions dire qu'il n'est pas l'objet de son désir sexuel qui détermine si un acte sexuel est malhabile ou pas, mais plutôt la qualité des émotions et des intentions impliquées. [1]
Il est également intéressant de noter que le bouddhisme ne place pas traditionnellement grande valeur sur la procréation comme beaucoup de religions occidentales. Du point de vue bouddhiste, étant marié avec des enfants est considéré comme globalement positif, mais pas obligatoire (même si les normes sociales dans les différents pays bouddhistes ont souvent des vues différentes). [3]
Malgré tout cela, dans la pratique, les pays bouddhistes Theravada ne sont pas terriblement ouvertes à l'homosexualité. Cela n'a rien à voir avec les normes culturelles, ainsi que la notion de karma, qui reste forte dans les pays comme la Thaïlande. Dans cette optique, caractéristiques de la personne et les situations résultent de ses péchés passés ou de bonnes actions. L'homosexualité et autres formes alternatives de la sexualité sont souvent considérés comme des punitions karmiques pour hétérosexuelle faute dans une vie antérieure. Jusqu'ici, le mouvement des droits des homosexuels n'a pas eu beaucoup de succès dans les pays bouddhistes Theravada. [7]
Homosexualité dans le bouddhisme Vajrayana/tibétain
Dans une interview de 1997, le Dalaï Lama (le chef du bouddhisme tibétain et une figure spirituelle largement respectée) a été interrogé sur l'homosexualité. Il n'a pas offert de réponse forte qu'il en soit, mais a noté que tous les moines sont censés s'abstenir de rapports sexuels. Pour les laïcs, il a commenté que le but du sexe est en général pour la procréation, ainsi que les actes homosexuels semblent un peu contre nature. Il a dit que les désirs sexuels en eux-mêmes sont naturels, y compris peut-être des désirs homosexuels, mais qu'on ne doit pas essayer d'augmenter ces désirs ou de se livrer à eux sans maîtrise de soi. [4]
Dans une conférence de 1993 donnée à Seattle, le Dalaï Lama a dit :
nature arrangé des organes mâles et femelles "de la manière qui est très approprié... Organes de même sexe ne peuvent pas gérer bien. » Mais il s'arrêta de condamne des relations homosexuelles en tout, disant : si deux personnes conviennent d'entrer dans une relation qui n'est pas sexuellement abusive, "alors je ne sais pas. Il est difficile à dire. » [5]
Le Dalaï Lama était plus précis lors d'une réunion avec des militants bouddhistes les dirigeants et les droits de l'homme à San Francisco en 1997, où il a fait remarquer que toutes les formes de sexe que le sexe penile-vaginale sont interdites pour les bouddhistes, que ce soit entre hétérosexuels ou homosexuels. Lors d'une conférence de presse la veille de la réunion, a-t-il dit, "d'un point de vue de bouddhiste, [sexe gay] est généralement considéré comme l'inconduite sexuelle. » Mais il a noté que cette règle est pour les bouddhistes, et du point de vue de la société, les relations homosexuelles peuvent être « des avantages mutuels, agréable et inoffensif. » [6]
Le Dalaï Lama est bien connu pour son activisme pour les droits de l'homme, et cela inclut spécifiquement des droits égaux pour les gays. Selon un spokeman du Bureau du Tibet, "sa sainteté oppose la violence et la discrimination fondée sur l'orientation sexuelle. Il exhorte respect, tolérance, compassion et la pleine reconnaissance des droits de l'homme pour tous. » [6]
Références
1.A. L. De Silva, « L'homosexualité et le bouddhisme Theravada. » Articles de Magazine de BuddhaNet, consulté en 2005.
2. Peter A. Jackson, « Comptes de bouddhiste thaïlandais de l'homosexualité masculine et le sida dans les années 1980. » Australian Journal of Anthropology, décembre 1995.
3. Kerry Trembath, « Bouddhisme et homosexualité. » Enabling.org, consulté en 2005.
4. « Sur l'homosexualité et le sexe en général. » Entrevue avec le Dalaï Lama, World Tibet Network News, 27 août 1997.
5. « Une leçon sur la vie, le bonheur. » Discours du Dalaï Lama à la foule de Seattle, World Tibet Network News, 1er juillet 1993.
6. Dennis Conkin, « Dalaï Lama exhorte « respect, compassion et complètes des droits de l'homme pour tous, » y compris les homosexuels. » Journaliste de la région de la baie, San Francisco, 19 juin 1997.
7. Mettanando Bhikkhu, « Bouddhistes permettra mariage homosexuel? » International de vue bouddhiste, 25 juillet 2005.
